Cette lecture c’est avant tout une rencontre Instagram. Laurie a visité mon compte, j’ai ensuite visité le sien… J’ai aimé l’énergie et la bienveillance de ses posts qui me rappelaient la lumière que je sème dans les miens. Nous partagions un autre point commun celui d’écrire et de participer au prix des étoiles organiser par Librinova. Nous n’avons pas fait parti des finalistes mais nous avons mutuellement acheté nos livres pour les découvrir. Voilà comment, pour la première fois de ma vie, j’ai lu le premier roman d’une autrice autoéditée (sans que cela soit mon roman ).Le premier roman de Laurie s’appelle » Les œillères de l’éléphante ». La lecture est fluide et agréable. Les personnages sont sincères et attachants. Louise, nous embarque dans sa vie et nous donne envie de découvrir la suite à chaque nouveau chapitre.
Quatrième de couverture : Quand Louise voit sa mémoire d’éléphant prendre la poudre d’escampette, sa vie bascule. Habitante d’un quotidien qu’elle ne supporte plus, elle jongle entre une mère tyrannique et un compagnon manipulateur, sans réussir à enlever ses œillères. Il lui faudra un électrochoc, envoyé du ciel par son père défunt, pour faire voler en éclats toutes ses croyances et lui permettre d’affronter ses bourreaux. Mais le chemin vers sa libération ne sera pas sans embûches. Entre la découverte d’un secret de famille inavouable et un voyage au cœur de New York, Louise nous emmène dans ce périple douloureux qu’est la résilience.Parviendra-t-elle, au milieu de tout ce tumulte, à se retrouver enfin ? Finira-t-elle par devenir l’actrice de sa vie, à défaut d’en être la spectatrice ?
En tant qu’autrice, j’ai pu ressentir l’investissement et la générosité de Laurie, la couverture est réalisée par sa fille, et cela donne une belle lumière sur ce premier roman, qui, j’en suis sûre, montrera le chemin aux prochains.